oct.
27
[film] La légende de Zorro
Où l'on parle de la suite des aventures du vengeur masqué
Quelques années après le (très) sympathique film qui a ressuscité le Renard, Zorro revient au cinéma pour de nouvelles aventures.
Cette fois, il devra faire face au détestable Armand, français bien décidé à lui voler sa femme après son divorce (eh oui...), tandis que se trame un complot visant à empêcher les Etats-Unis de devenir une nation libre...
Le scénario est certes très faible. Une morale anti-français et pro-américaine post-11 septembre flotte en ce début de film (la première scène s'ouvre sur une ode aux Etats-Unis, et le méchant est un français, comme dans nombre de films ces dernières années...). Armand va même jusqu'à vanter les mérites du vin californien, ce qui n'est pas anodin je pense..
De plus, les motivations du méchant sont ridicules (il compte "détruire l'Amérique", rien que ça, et pas au sens figuré ! Il veut la faire exploser...). Pour cela, il va aller jusqu'à faire exproprier des pauvres paysans... pour faire construire une ligne de chemin de fer (en deux jours !) passant par leurs terres (comme s'il n'avait pas la place de le faire ailleurs! Vu les étendues sauvages et désertes qui sont montrées tout le long du film, on se demande pourquoi il s'acharne sur ces trois pauvres clampins...).
Alors, ce film serait-il nul ? Non pas. Certes, Anthony Hopkins manque cruellement dans cette suite. Mais les acteurs s'en donnent à coeur-joie, Catherine Zeta-Jones en tête, pétillante du début à la fin. Le fils de Zorro, Joaquin, aurait pu être un gamin énervant, comme dans tant d'autres films; là, il est drôle, et pas si désagréable que ça. Les scènes d'actions sont excellentes (même s'il y a trop de sauts périlleux à chaque fois que Zorro court...), et l'humour omniprésent. La légende de Zorro n'est certes pas un grand film, mais l'on passe vraiment un bon moment devant, sans s'ennuyer une seule seconde. Et puis, les films de cape et d'épée ne sont pas légion au cinéma, alors pourquoi les bouder ?
Le site officiel du film
Cette fois, il devra faire face au détestable Armand, français bien décidé à lui voler sa femme après son divorce (eh oui...), tandis que se trame un complot visant à empêcher les Etats-Unis de devenir une nation libre...
Le scénario est certes très faible. Une morale anti-français et pro-américaine post-11 septembre flotte en ce début de film (la première scène s'ouvre sur une ode aux Etats-Unis, et le méchant est un français, comme dans nombre de films ces dernières années...). Armand va même jusqu'à vanter les mérites du vin californien, ce qui n'est pas anodin je pense..
De plus, les motivations du méchant sont ridicules (il compte "détruire l'Amérique", rien que ça, et pas au sens figuré ! Il veut la faire exploser...). Pour cela, il va aller jusqu'à faire exproprier des pauvres paysans... pour faire construire une ligne de chemin de fer (en deux jours !) passant par leurs terres (comme s'il n'avait pas la place de le faire ailleurs! Vu les étendues sauvages et désertes qui sont montrées tout le long du film, on se demande pourquoi il s'acharne sur ces trois pauvres clampins...).
Alors, ce film serait-il nul ? Non pas. Certes, Anthony Hopkins manque cruellement dans cette suite. Mais les acteurs s'en donnent à coeur-joie, Catherine Zeta-Jones en tête, pétillante du début à la fin. Le fils de Zorro, Joaquin, aurait pu être un gamin énervant, comme dans tant d'autres films; là, il est drôle, et pas si désagréable que ça. Les scènes d'actions sont excellentes (même s'il y a trop de sauts périlleux à chaque fois que Zorro court...), et l'humour omniprésent. La légende de Zorro n'est certes pas un grand film, mais l'on passe vraiment un bon moment devant, sans s'ennuyer une seule seconde. Et puis, les films de cape et d'épée ne sont pas légion au cinéma, alors pourquoi les bouder ?
Le site officiel du film
