sept.
01
[film] Barbe-Noire le pirate (Raoul Walsh, 1952)
Où l'on rencontre un truculent pirate sanguinaire
Edward Maynard est un aventurier enquêtant sur le pirate Henry Morgan. Pour retrouver sa piste, il va devenir prisonnier de Barbe-Noire, sur le bateau duquel il rencontrera la belle Edwina Mansfield, elle aussi captive, et connaissant bien Morgan...
Le scénario n'est pas grandiose, avec une fin sans grande envergure, ce n'est pas là ce qu'on retiendra de ce film. On ne retiendra pas non plus la mise en scène, souvent peu impressionnante. Non, ce qui saute aux yeux et reste dans les mémoires, c'est bien la prestation exceptionnelle de Robert Newton, qui incarne un Barbe-Noire plein de gouaille, à moitié ivre la plupart du temps et plus qu'à moitié fou le reste, et qui, s'il semble moins sanguinaire que le Barbe-Noire historique, gagne en drôlerie. Il crève l'écran, et les aventures de Maynard et d'Edwina passent largement au second plan dans ce film qui manque certes parfois de rythme, mais qui vaut le coup d'oeil pour l'interprétation de Robert Newton...
Une critique sur DVD Classik
Le scénario n'est pas grandiose, avec une fin sans grande envergure, ce n'est pas là ce qu'on retiendra de ce film. On ne retiendra pas non plus la mise en scène, souvent peu impressionnante. Non, ce qui saute aux yeux et reste dans les mémoires, c'est bien la prestation exceptionnelle de Robert Newton, qui incarne un Barbe-Noire plein de gouaille, à moitié ivre la plupart du temps et plus qu'à moitié fou le reste, et qui, s'il semble moins sanguinaire que le Barbe-Noire historique, gagne en drôlerie. Il crève l'écran, et les aventures de Maynard et d'Edwina passent largement au second plan dans ce film qui manque certes parfois de rythme, mais qui vaut le coup d'oeil pour l'interprétation de Robert Newton...
Une critique sur DVD Classik
